Pour ou contre l'euthanasie ?
12 février 2013
Le mot euthanasie vient du grec et veut littéralement dire: bonne mort. Euthanasier quelqu'un c'est utiliser des moyens qui vont permettre d'anticiper ou de provoquer sa mort.
En Belgique et en Hollande , on peut pratiquer l'euthanasie sans encourir de peines.
A l'heure ou s'ouvre en France le procès d' une infirmière accusée d'avoir provoqué la mort de 7 personnes, on peut se poser la question : Pour ou contre l'euthanasie ?
Vouloir abréger les souffrances d'un malade incurable, cela part évidemment d'un bon sentiment. Surtout si ce malade demande la mort.
Mais est-ce une bonne chose ?
Sommes nous sûr, que ce malade est bien incurable ?
On est jamais sûr. On a vu parfois des guérisons contre toute attente. Quand bien même , on serait sûr, que la maladie est incurable, sommes nous sûr de ce qui va se passer après la mort du malade.
Si comme l'affirme Jésus, le paradis et l'enfer existe, en abrégeant la vie d'un malade, on risquerait de l'envoyer plutôt que prévu en enfer. Dans ce cas, on lui aurait rendu un très mauvais service, car il aurait pu, comme cela arrive souvent , se repentir in extremis, même s'il se trouve dans le comas , comme le prouve l'histoire suivante.
Une amie chrétienne, m'a un jour appelé au téléphone , pour me demander d'aller voir à l'hôpital, son mari mourant. Cet homme n'était pas un chrétien.
Je suis arrivé dans sa chambre d'hôpital , et j'ai trouvé cet homme dans le comas. J'avais entendu dire que les personnes qui étaient dans le comas, pouvaient entendre ce qu'on leur disait. J'ai donc parlé à cet homme et je lui ai expliqué l'évangile. Je lui ai dit que Jésus était mort à sa place sur la croix et qu'il avait expié le prix de ses fautes.
S'il acceptait ce salut que Dieu lui offrait, il n'irait pas en enfer, mais au paradis. Comme il ne pouvait pas me confesser ses péchés, j'ai demandé pardon à Dieu à sa place . Je lui ai demandé ensuite de me faire un signe ou un mouvement, pour me montrait qu'il acceptait le salut que Dieu lui offrait.
A ce moment là, il s'est dressé sur ses coudes, il a ouvert la bouche et il a murmuré : Jésus. Puis, il est retombé. Il est mort, 2 jours après. Sa femme m'a téléphoné, pour me dire qu' après ma visite, il était complètement apaisé, et il est parti pour l'autre monde avec un sourire sur les lèvres : il était sauvé. Heureusement qu' on ne l'a pas euthanasié avant. C'est seulement Dieu qui peut décider de la mort d'une personne. Euthanasier est un crime. On peut essayer d'apaiser la souffrance, mais elle peut être aussi salutaire et permettre à la personne de se repentir , et de se mettre en règle avec Dieu, avant de passer dans l'autre monde. Il vaut mieux mourir en souffrant et aller au paradis, que de mourir sans souffrir et aller en enfer ! "
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